Carnet d'enfance

Par taches successives, un tableau impressionniste de l'enfance se peint devant nous. Au fur et à mesure qu'il se développe, il parle de nous et rappelle que nous ne sommes qu'une projection de notre enfance.

Ce spectacle a été créé en 2009 à Boulognes sur Mer. Il est repris dans le cadre de la 3 éme édition de Festival un automne à tisser du 23 octobre au 1 novembre 2009.

Ce texte a été sélectionné par le comité de lecture du Théâtre de la Tête Noire à Saran, direction Patrice Douchet, scène conventionnée pour les écritures contemporaines, et a fait l'objet de lectures accompagnées par la musicienne Christine Kostchi, dans le cadre de l'opération Text'Avril 2007 , semaine pour les écritures contemporaines.

Ils ont parlé de Carnet d'enfance :
 
Le Figaro
Armelle Héliot

« Jacques Courtès, regard d'étonnement, gourmandise de tout l'être, bonne diction, savoure son texte sous nos yeux, guidé avec tact par Stanislas Grassian, jeune metteur en scène subtil et fin qui anime le collectif Hic et Nunc… Il faut saluer la présence singulière, le talent musical large et délicat de Christine Kotschi, qui à la demande de Jacques Courtès, accompagne la représentation. C'est superbe ! »

L'humanité
Jean-Pierre Léonardini
"Son beau texte de rongeur d'ongles, Courtès le distille sans nostalgie visible, avec un soupçon d'ironie à peine attendrie, tandis que Christine Kotschi, vrai magicienne des sons insolites, invente à vue des souffles, des frémissements, des clapotis..."

Jusqu'à la lune et retour
France culture
"Ce spectacle poétique est un jeu de sonorités, musicales et vocales, qui interroge sur les projections que nous avons sur notre enfance. C'est un régal à écouter, il faut aller voir Carnet d'enfance".
 
Le Printemps des Poètes
Jean-Pierre Siméon Directeur Artistique
"Cher ami, oui ce Carnet d'enfance sonne juste, la sobriété, l'économie de la langue donnent à sentir et à voir mieux et plus sans doute que ces épaisses "auto-fictions" qui encombrent les librairies. Nul doute que cela prend toute sa force dans l'énergie du plateau. Croyez que je considère avec une vraie sympathie (on oublie trop l'étymologie de ce mot…) votre chemin entre poésie et théâtre".